La démocratisation du travail à temps partagé
Le Portail du temps partagé a publié son baromètre 2019. Cette quatrième édition ne fait que confirmer l’engouement pour le travail à temps partagé.
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- Le travail à temps partagé représente plus de 430 000 professionnels en France. En période de pics d’activités, nombreuses sont les TPE et PME qui aimeraient recruter, lancer de nouveaux projets, faire appel à de nouvelles compétences. Mais faute de visibilité à moyen ou à long terme, elles restent prudentes.
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- En parallèle, les salariés sont à la recherche de la sécurité de l’emploi, d’une part, mais également d’un véritable épanouissement professionnel en effectuant des missions variées, d’autre part.
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- Comment recruter quand les entreprises, collectivités ou administrations ont surtout besoin de collaborations ponctuelles ou partielles ? La complexité des démarches administratives et le poids des charges financières dissuadent d’embaucher, quitte à parfois laisser échapper des opportunités de développement. Dans ce contexte, le travail à temps partagé apparaît comme une véritable aubaine.
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- Cette quatrième édition du baromètre confirme un véritable engouement pour le travail à temps partagé : les entreprises apprécient sa flexibilité (27 %), l’expertise plus pointue des collaborateurs (25 %) et leur meilleure maîtrise des coûts (22 %). Les professionnels, salariés et indépendants, essentiellement des cadres (75 %) expérimentés (75 % ont 40 ans et +), le plébiscitent pour ses missions diversifiées (35 %), leur autonomie (26 %) et le bon équilibre entre vie privée et vie professionnelle (23 %).
- « Nous assistons à une démocratisation du temps partagé. Longtemps marginal, il est de plus en plus utilisé par les entreprises. Ainsi, le taux de non-cadres est en hausse, puisqu’il atteint 25 %, cette année contre 11 % auparavant. De plus, 41 % des professionnels sont à temps plein, alors qu’ils n’étaient que
22 % l’année dernière », relève David Bibard, directeur du Portail du temps partagé.Le Portail du temps partagé a publié son baromètre 2019. Cette quatrième édition ne fait que confirmer l’engouement pour le travail à temps partagé.-
- Le travail à temps partagé représente plus de 430 000 professionnels en France. En période de pics d’activités, nombreuses sont les TPE et PME qui aimeraient recruter, lancer de nouveaux projets, faire appel à de nouvelles compétences. Mais faute de visibilité à moyen ou à long terme, elles restent prudentes.
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- En parallèle, les salariés sont à la recherche de la sécurité de l’emploi, d’une part, mais également d’un véritable épanouissement professionnel en effectuant des missions variées, d’autre part.
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- Comment recruter quand les entreprises, collectivités ou administrations ont surtout besoin de collaborations ponctuelles ou partielles ? La complexité des démarches administratives et le poids des charges financières dissuadent d’embaucher, quitte à parfois laisser échapper des opportunités de développement. Dans ce contexte, le travail à temps partagé apparaît comme une véritable aubaine.
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- Cette quatrième édition du baromètre confirme un véritable engouement pour le travail à temps partagé : les entreprises apprécient sa flexibilité (27 %), l’expertise plus pointue des collaborateurs (25 %) et leur meilleure maîtrise des coûts (22 %). Les professionnels, salariés et indépendants, essentiellement des cadres (75 %) expérimentés (75 % ont 40 ans et +), le plébiscitent pour ses missions diversifiées (35 %), leur autonomie (26 %) et le bon équilibre entre vie privée et vie professionnelle (23 %).
- « Nous assistons à une démocratisation du temps partagé. Longtemps marginal, il est de plus en plus utilisé par les entreprises. Ainsi, le taux de non-cadres est en hausse, puisqu’il atteint 25 %, cette année contre 11 % auparavant. De plus, 41 % des professionnels sont à temps plein, alors qu’ils n’étaient que
22 % l’année dernière », relève David Bibard, directeur du Portail du temps partagé.
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